Une récente étude des Petits Frères des pauvres* estime que 300 000 personnes âgées sont en situation de « mort sociale » aujourd’hui. L’éloignement géographique des proches, la disparition du conjoint, des frères et sœurs, des amis, les difficultés de déplacement, le manque de moyens financiers, le manque d’envie de participer à des activités, des sorties ou encore l’exclusion numérique… Autant de facteurs de risques d’isolement et de solitude chez les personnes fragilisées. Face à cette situation, il existe néanmoins des solutions. Solitude ou isolement social de quoi parle-t-on? On associe souvent la solitude à l'isolement. Mais l'isolement engendre-t-il forcément un sentiment de solitude et inversement ? Ne peut-on pas se sentir seul(e) tout en étant entouré(e) ? Il s'agit là bien sûr de la solitude imposée, phénomène que le vieillissement de la population et les politiques de maintien à domicile ont accentué. Repérer les premiers signes de la solitude chez la personne âgée Des activités physiques, culturelles ou de loisirs abandonnés, un manque de motivation ou d'envie de sortir, des proches (famille, amis, voisins) qui disparaissent, des difficultés pour se déplacer et prendre les transports, des visites qui s’espacent,…
Une récente étude des Petits Frères des pauvres* estime que 300 000 personnes âgées sont en situation de « mort sociale » aujourd’hui. L’éloignement géographique des proches, la disparition du conjoint, des frères et sœurs, des amis, les difficultés de déplacement, le manque de moyens financiers, le manque d’envie de participer…