Telle une épée de Damoclès, la menace de la fugue inquiète les aidants, parfois au point d'accélérer la décision d'entrée en EHPAD. Afin de les rassurer, voici quelques conseils pour limiter le risque tout en laissant leur proche vivre chez lui et réagir efficacement en cas de disparition. L'une des principales raisons qui conduisent à placer un proche malade Alzheimer en institution est le risque de fugue, qui préoccupe les aidants de façon permanente à partir d'un certain stade. Certes, ce risque est important, car lié à plusieurs symptômes courants de la pathologie (déambulation, anxiété, confusion spatio-temporelle...) : on estime qu'il arrive à près de 20% des malades Alzheimer de fuguer au moins une fois. Mais il n'est pas inéluctable : plusieurs moyens permettent de l'anticiper, ou, si la fugue a déjà eu lieu, de retrouver la personne au plus vite. Anticiper les fugues Comment adapter l'environnement ? Pour répondre à cette…
Telle une épée de Damoclès, la menace de la fugue inquiète les aidants, parfois au point d'accélérer la décision d'entrée en EHPAD. Afin de les rassurer, voici quelques conseils pour limiter le risque tout en laissant leur proche vivre chez lui et réagir efficacement en cas de disparition. L'une des…