Maladie de Huntington : mise en lumière et perspectives rassurantes pour accompagner cette maladie génétique, rare et sévère

Encore trop peu connue des professionnels comme du grand public, la maladie de Huntington est connotée de façon péjorative et terrible. La conséquence est une prise en charge trop souvent inadéquate, générant une souffrance pour la personne malade et son entourage.  Qu’est-ce que la maladie de Huntington ? Il s’agit d’une maladie génétique transmissible à 50 % à la descendance. Une mutation irréversible se produit sur le chromosome 4, occasionnant la production d’une protéine devenant toxique et mortelle pour les neurones d’une zone cérébrale, le striatum. La maladie s’exprime dès lors que l’on possède ce gène.  Elle touche un peu plus de 6 000 personnes actuellement symptomatiques en France. 12 000 personnes diagnostiquées n’ont pas encore de symptômes.  Elle se manifeste de façon précoce à l’âge de 35-50 ans. Sa durée d’évolution varie de 15 à 30 ans.  Cette maladie neurologique présente les manifestations typiques suivantes : La chorée au premier plan : mouvements…
Encore trop peu connue des professionnels comme du grand public, la maladie de Huntington est connotée de façon péjorative et terrible. La conséquence est une prise en charge trop souvent inadéquate, générant une souffrance pour la personne malade et son entourage.  Qu’est-ce que la maladie de Huntington ? Il s’agit d’une…

Maladies cognitives : votre proche perd-il son identité propre ?

Les proches de malades de pathologies neurodégénératives témoignent souvent ainsi : « Elle semble ne plus se connaître » ; « S’il m’apparaît à moi comme un étranger, sait-il encore qui il est ? ». Ces questions sont au centre d’un véritable crève-cœur pour l’entourage familial et professionnel : que devient l’être et comment se perçoit-il au cours de l’évolution de maladies neurocognitives ? S’efface-t-il à lui-même et aux autres jusqu’à ne plus exister ? L’exploration de la notion d’identité d’une personne au cours de sa vie et lors de la survenue de ces maladies vont nous aider à y voir plus clair.

Et si le travail protégeait notre cerveau ?

Si vous êtes impatient à l’idée d’être à la retraite, la lecture de cet article vous fera peut-être voir les choses autrement puisqu’il décrypte le lien entre âge de départ à la retraite et risque de développer une maladie d’Alzheimer. « Le travail mène à aliénation » clamait Marx ? Pas si sûr… Plusieurs études européennes tendent à prouver que plus un individu travaille tard, plus il repousse l’apparition d’une démence.  Les premiers à avoir avancé cette idée sont des chercheurs britanniques, en 2010 : d’après eux, chaque année supplémentaire de travail retarderait la survenue de la maladie d’Alzheimer de 6,8 semaines. En 2013, une enquête française mise en place par l'Inserm et le Centre international sur la longévité (ILC) est allée plus loin dans ce sens : selon elle, après 60 ans, chaque année de travail supplémentaire réduirait de 3 % le risque de démence. Autrement dit, les individus retraités à 65 ans ont…
Si vous êtes impatient à l’idée d’être à la retraite, la lecture de cet article vous fera peut-être voir les choses autrement puisqu’il décrypte le lien entre âge de départ à la retraite et risque de développer une maladie d’Alzheimer. « Le travail mène à aliénation » clamait Marx ? Pas si sûr……