Des séances d’orthophonie dans la maladie d’Alzheimer… mais pour quoi faire ?

La communication, verbale ou non verbale, avec la personne malade constitue un lien essentiel. L’orthophoniste s’attache à le préserver au fil des mois et des années.  L’orthophonie ne se réduit pas à la prise en charge des troubles du langage dans l’enfance ou après un accident vasculaire cérébral. Le champ d’action de cette discipline paramédicale s’étend aussi, notamment, au maintien et à l’adaptation des capacités de communication dans les pathologies neurodégénératives.  Surmonter les difficultés... La maladie d’Alzheimer en fait partie. Elle s’accompagne de troubles du langage et de la communication qui tendent à s’aggraver au fil des ans : manque croissant de mots, difficultés à comprendre les autres, ralentissement du débit de la parole, voire mutisme... Or si la personne malade ne parvient plus à communiquer via le langage avec son entourage, elle risque de s’exprimer par son comportement (opposition physique, agitation...).  L’orthophoniste l’aide à éviter cet écueil grâce à une prise en charge…
La communication, verbale ou non verbale, avec la personne malade constitue un lien essentiel. L’orthophoniste s’attache à le préserver au fil des mois et des années.  L’orthophonie ne se réduit pas à la prise en charge des troubles du langage dans l’enfance ou après un accident vasculaire cérébral. Le champ d’action de…
Les bienfaits des activités physiques adaptées sur la maladie de Parkinson
Group of active senior people doing yoga exercise in community center club.

Les bienfaits des activités physiques adaptées sur la maladie de Parkinson

La maladie de Parkinson affecte le mouvement et s'accompagne de lenteurs, tremblements et raideurs. Adoptant un réflexe d’autoprotection, le malade a tendance à réduire son activité physique, quand au contraire, il faudrait continuer de bouger. Pourquoi continuer à bouger et quelles activités…

Le malaise vagal de la personne âgée à domicile

C'est le plus fréquent des « malaises » de la personne âgée et la cause la plus fréquente de ses pertes de connaissance brèves ( ou « syncope ») à domicile. S'il récidive, ce malaise majore le risque de chutes, de fractures et donc d'arrêt du maintien à domicile. Comment le reconnaître ? Que faire tout de suite ? Quelle prévention envisager ?  De quoi s'agit-il ? Il est provoqué par une rapide hyperactivité du nerf vague (ou pneumogastrique) qui, dans son long trajet du cerveau vers le ventre, gère notamment la fréquence du coeur mais, ici, la ralentit trop. Le coeur battant beaucoup moins vite, le débit cardiaque diminue et le coeur chasse alors moins de sang vers l'aorte puis vers le cerveau, qui est moins perfusé, ce qui peut, au pire, provoquer une syncope.  Mais auparavant, la rapide diminution du débit cardiaque ralentit étrangement la personne âgée qui, lorsqu'elle présente tous les signes annonciateurs (ce qui est rare), devient hagarde, son visage pâlit, elle baille…
C'est le plus fréquent des « malaises » de la personne âgée et la cause la plus fréquente de ses pertes de connaissance brèves ( ou « syncope ») à domicile. S'il récidive, ce malaise majore le risque de chutes, de fractures et donc d'arrêt du maintien à domicile. Comment le reconnaître…