Aidants : comment faire valoir votre nouveau droit au répit ?

La loi relative à l'adaptation de la société au vieillissement permet un droit au répit pour les proches aidants depuis le 1er mars 2016. Ce droit a pour objectif de leur permettre de se reposer et de prendre du temps pour eux. Mais de quoi parle-t-on ? Cette réforme concerne-t-elle tous les aidants ? Comment en bénéficier ? À qui s’adresser ? Décryptage de ce droit au répit pour les aidants familiaux. Qui est concerné par ce droit au répit ? Tout d’abord rappelons qu’un proche aidant peut être le conjoint, le partenaire avec qui la personne âgée en perte d’autonomie a conclu un pacte civil de solidarité ou son concubin, un parent, un allié ou une personne résidant avec elle ou entretenant avec elle des liens étroits et stables comme un voisin ou un ami. Le périmètre d’application de ce droit au répit s’inscrit dans le cadre de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). Autrement dit, il ne concerne que les aidants des personnes âgées…
La loi relative à l'adaptation de la société au vieillissement permet un droit au répit pour les proches aidants depuis le 1er mars 2016. Ce droit a pour objectif de leur permettre de se reposer et de prendre du temps pour eux. Mais de quoi parle-t-on ? Cette réforme concerne-t-elle…

Succession et abus de faiblesse

L’abus de faiblesse est avant tout une notion de droit pénal, mais qui peut avoir des conséquences civiles. Elle se distincte de la notion d’abus de confiance dont elle est proche. Il se manifeste notamment à l’égard des personnes vulnérables, et se révèle fréquemment à l’occasion du règlement d’une succession. Les aidants devront ainsi redoubler de vigilance face aux risques encourus par leurs aidés.  La définition de l'abus de faiblesse Le code pénal définit l’abus de faiblesse comme étant l'abus frauduleux de l'état d'ignorance ou de la situation de faiblesse d'une personne dont la particulière vulnérabilité est due à son âge, à une maladie, à une infirmité, ou à une déficience physique ou psychique. Ses caractéristiques légales supposent l’existence de trois éléments cumulatifs : un élément matériel, un élément intentionnel et un préjudice grave (soit pour la personne vulnérable, soit pour ses héritiers). En cas de contentieux, le juge appréciera la situation de…
L’abus de faiblesse est avant tout une notion de droit pénal, mais qui peut avoir des conséquences civiles. Elle se distincte de la notion d’abus de confiance dont elle est proche. Il se manifeste notamment à l’égard des personnes vulnérables, et se révèle fréquemment à l’occasion du règlement d’une succession.…
aidons les notres banniere promotion

Être écouté, conseillé et soutenu

Des professionnels sont à votre écoute, partout en France, vous accompagnent en cas de coup dur et vous orientent dans vos démarches