Apprendre à communiquer avec un proche atteint de la maladie d’Alzheimer

Si les troubles de la mémoire sont généralement les premiers signes de la maladie d’Alzheimer, parfois suffisamment légers pour faire illusion, au fur et à mesure que la maladie évolue, d’autres symptômes apparaissent : désorientation, troubles de l’humeur, altération du comportement, confusion… Il devient alors progressivement difficile de se faire comprendre de son proche et de le comprendre. Voici quelques conseils pour améliorer la relation avec le proche atteint de la maladie d’Alzheimer. Améliorer la communication permet en effet de limiter les troubles du comportement et le recours aux médicaments psychotropes, et est également bénéfique aux aidants en réduisant la culpabilité. Mobiliser l’attention de son proche D’abord, il faut créer les conditions permettant de mobiliser l’attention de votre proche. Si vous voulez lui parler, mettez-vous à sa hauteur, quitte à s’agenouiller s’il est en fauteuil. Regardez-le dans les yeux, maintenez le contact visuel, utilisez le toucher pour capter son attention.  Parlez…
Si les troubles de la mémoire sont généralement les premiers signes de la maladie d’Alzheimer, parfois suffisamment légers pour faire illusion, au fur et à mesure que la maladie évolue, d’autres symptômes apparaissent : désorientation, troubles de l’humeur, altération du comportement, confusion… Il devient alors progressivement difficile de se faire comprendre…

Lorsqu’un proche plus âgé souffre d’une maladie neuro dégénérative, comment s’y prendre avec les plus jeunes ?

Maintenir les liens entre les générations et continuer à les tisser patiemment au cours de l’aventure de la vie : voici qui représente un véritable challenge lorsque la dynamique familiale se trouve confrontée à une maladie neurologique évolutive. Et cela concerne autant les liens au domicile ou dans une structure d’accueil (type EHPAD). Les générations concernées sont souvent au sein d’une même famille (grands-parents, oncles et tantes), mais également en proximité habituées à partager un quotidien (voisin, parrain, marraine, etc.). Le plus jeune devient l’observateur des modifications engendrées par la maladie et cela bouscule les références habituelles : paralysie, perte de la parole post AVC, tremblements, chutes avec difficultés à la marche dans la maladie de Parkinson, somnolence et endormissements dans la maladie à corps de Lewy, troubles de mémoire avec questions répétitives et oublis dans la maladie d’Alzheimer… La liste est longue, sans oublier les troubles du comportement avec réactivité, désinhibitions,…
Maintenir les liens entre les générations et continuer à les tisser patiemment au cours de l’aventure de la vie : voici qui représente un véritable challenge lorsque la dynamique familiale se trouve confrontée à une maladie neurologique évolutive. Et cela concerne autant les liens au domicile ou dans une structure d’accueil…
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