Expliquer la maladie d’Alzheimer aux plus jeunes
High angle view of happy man playing with boy while sitting on sofa at home

Expliquer la maladie d’Alzheimer aux plus jeunes

Les petits se sentiront vite perdus s’ils voient leur proche changer sans qu’on leur dise pourquoi. Voici quelques pistes pour leur faire comprendre cette pathologie complexe d’une façon adaptée à leur jeune âge et à leur statut de petit-enfant. « Dis, c’est normal que grand-père me demande toujours la même chose ? » ; « Pourquoi Mamie ne se souvient plus de mon prénom ? » ; « C’est ma faute si grand-mère s’énerve ? » Inévitablement, les questions se bousculent dans la tête des enfants quand ils sont confrontés aux changements de comportement d’un parent atteint par la maladie d’Alzheimer. Comment réagir ? Pas de tabou ! Dans l’intention de préserver votre enfant, vous pouvez être tentés de nier la réalité en évitant de lui répondre ou en faisant comme si de rien n’était devant lui. Attention ! En l’absence de vos explications, il risque de mal interpréter la situation et de réagir de façon inadéquate : sentiment d’exclusion, désorientation, culpabilité, rancœur, détachement… Soyez…
Les petits se sentiront vite perdus s’ils voient leur proche changer sans qu’on leur dise pourquoi. Voici quelques pistes pour leur faire comprendre cette pathologie complexe d’une façon adaptée à leur jeune âge et à leur statut de petit-enfant. « Dis, c’est normal que grand-père me demande toujours la même chose ? » ;…

Intégrer un protocole de recherche : quel intérêt ?

En plus de contribuer au progrès de la recherche sur Alzheimer, la participation à des protocoles arme mieux le patient contre sa maladie. Pour avancer à la hauteur des espérances, la recherche sur Alzheimer ne manque pas de pistes, mais de volontaires. Les patients et leurs familles n’ont souvent pas connaissance de ce besoin ou écartent l’éventualité par méfiance. « Les contraintes liées à la maladie sont déjà assez nombreuses : pas de place pour d’autres ! » ; « À quoi bon jouer les cobayes en testant des médicaments potentiellement dangereux pour des progrès qui ne profiteront qu’aux autres ? » etc. Ces réticences courantes s’expliquent par une grande ignorance sur la façon dont la participation à un protocole de recherche se déroule et, indépendamment de ses résultats, améliore le quotidien du malade. Un suivi medical renforce Pour les besoins du protocole, le malade Alzheimer se présente régulièrement au centre de recherche. Là, il subit systématiquement des…
En plus de contribuer au progrès de la recherche sur Alzheimer, la participation à des protocoles arme mieux le patient contre sa maladie. Pour avancer à la hauteur des espérances, la recherche sur Alzheimer ne manque pas de pistes, mais de volontaires. Les patients et leurs familles n’ont souvent pas…